Garder ses valeurs d’origine dans une société occidentale ?

Peut-on vivre dans une société occidentale en gardant ses valeurs d’origine ?

Pendant mes séances de coaching,  j’établis le diagnostic et je constate que les personnes n’ont pas uniquement que des problèmes de cœurs. Pour résoudre leur problématique sentimentale, il faut étudier la personne dans sa globalité afin de mieux l’aider.

Il en est de même pour les multiples problèmes de couples que j’ai constaté dans mon entourage. 

Parfois, chaque partenaire traîne des blessures émotionnelles, conscientes ou non. Elles peuvent ressurgir et affecter la vie de couple ou sa capacité à construire une relation amoureuse pérenne et épanouissante.

Nos domaines de vie

Notre vie est comme un puzzle, si une pièce est déséquilibrée, cela affecte la personne entière.

Par exemple, un problème d’ordre familial, spirituel, financier ou autre peut affecter la vie sentimentale d’une personne ou inversement.

C’est pour cette raison que je préparerai pour vous des sujets sur ces divers thèmes en fonction de vos retours.

D’ailleurs, je vous ai fait un post sur mes réseaux sociaux où je vous invite à classer vos domaines de vie selon vos priorités :  vie sentimentale, spiritualité, travail, finance, famille, bien être.

Vous pouvez également le faire par thème. Et, bien sûr, selon vos priorités. Ceci afin d’identifier clairement quel aspect vous souhaitez prioriser selon vos temps et énergie. Relation avec Dieu, relation de couple, famille, vie sociale, santé, carrière, qualité de vie, finances,… 

Pour certaines femmes, rencontrer un homme pour une relation peut être d’une grande aisance. Mais le défi se présente quand il faut trouver le partenaire idéal, pour soi, en amour. Ceci afin de construire et maintenir l’harmonie dans sa vie de couple.

Loin de moi l’idée de pousser des femmes à devenir maman célibataire. Mais ma mission est d’apporter mon aide à celles qui se retrouvent involontairement dans ces situations. Je les encourage à se reconstruire, prendre leur responsabilité pour leur épanouissement et leur santé affective.

J’organise des ateliers 100 % en ligne et tous les mois sur ces problématiques. Contactez-moi pour plus d’informations et réservations.

La monoparentalité a toujours existé depuis fort longtemps. Mais dans des proportions différentes selon que l’on soit dans une société africaine ou occidentale.

Les réalités économiques et juridiques étant opposées d’un continent à l’autre, le constat est évident que, dans la société occidentale, le taux de divorce et donc le nombre de mamans célibataires est plus élevé.

Les personnes qui s’expatrient pour diverses raisons doivent s’intégrer dans le pays choisi et donc embrasser une nouvelle culture.

Ils font parfois face à des problèmes identitaires auxquels il faut savoir gérer au mieux en fonction de ses attentes et valeurs. Tout ceci impacte les relations amoureuses et particulièrement la vie de couple.

« Le couple heureux qui se reconnaît dans l’amour, défie l’univers et le temps, il se suffit, il réalise l’absolu. »
Simone de Beauvoir

Comment vivre dans une société sans perdre son identité ? Comment s’adapter dans son contexte de vie en préservant sa vie de couple ?

Il n’est pas question d’abandonner notre culture, mais plutôt de corriger certains aspects de celle-ci qui n’honorent pas toujours la femme. Et pour cela il n’est pas interdit d’apprendre des autres.

Tous les médias publics des continents africains ne valorisent pas toujours au travers de leur programme les cultures locales. Dans certains pays, les modèles représentés sont parfois autre. Ce qui engendre une perte identitaire si une personne ne reçoit pas une éducation adaptée. Il serait donc nécessaire de promouvoir également les vrais valeurs de société.

Car beaucoup sont influencés par les séries télévisées qui ne sont pas assez édifiantes.

Le fait aussi qu’une femme en Afrique n’a pas toujours autant d’autonomie, de liberté, d’opportunités professionnelles ou de formation qu’en Occident, développe chez elle une indépendance. Une émancipation qui fait qu’elle n’a aucun mal à manifester sa capacité auprès de son mari.

L’erreur que certaines peuvent commettre, c’est d’oublier leur place et rôle dans le foyer. Ce genre de situations, si elles ne sont pas gérées au mieux, entraîne des mésententes dans le couple, voire des séparations.

En effet, l’indépendance financière de la femme peut créer chez certains hommes un complexe d’infériorité.

J’ai rédigé pour vous un article précédemment pour vous qui parle de gestion des finances dans le couple.

Il est donc essentiel de veiller à gérer sa vie de couple de manière judicieuse, en oubliant pas ses valeurs d’origine. L’idéal serait de les adapter de manière constructive, dans la bienveillance et le respect de son partenaire afin d’éviter des situations dramatiques.

« Le mari fait le couple, la femme fait la famille. »
Nelly Alard

Chacun dans le couple doit reconnaître sa place et l’occuper dans le respect de l’autre. Ceci afin que toute décision prise ou acte manifesté soit écologique pour la vie de couple.

Ceci passe par un partage des valeurs tel que : le respect, un dialogue efficace, une bonne écoute, l’entraide, l’entente, l’honnêteté. Veillez à préserver l’harmonie face aux périodes de contractions affectives est primordial.

L’esprit de partage qui prédomine dans la société africaine se perd parfois et laisse place au matérialisme, à l’individualisme, l’égoïsme de la vie occidentale. Il en résulte le plus souvent la perte des vraies valeurs d’origine.

« La valeur de tout individu ne dépend pas de la fortune qu’il peut posséder, mais surtout de son intelligence et de sa culture »
Samuel Ferdinand-Lop 

D’où la raison pour laquelle je fais cet appel de conscience en espérant que ça puisse aider à sauver des couples.

S’adapter dans son environnement en ne perdant pas ses valeurs, son identité est donc essentiel et possible si chaque personne y met du sien et de la volonté pour y arriver. D’où la nécessité de prendre de ses responsabilités où que l’on soit en préservant ses valeurs et son identité.